KENYA :
Lac Baringo

Le lac Baringo est un lac d'eau douce de 170 Km2 siitué à 1025m d'altitude.
En venant de Maralal, la route descend vers la vallée du rift.
C'est ici le, ou du moins un, berceau de l'humanité.


On peut appercevoir au loin, les différents niveaux de la faille. les falaises rouges abruptes, puis une première rangée de collines et les montagnes plus élevées au loin. Au premier plan : un magnifique tantale ibis.


Le terrain de camping est habité par ces drôles d'oiseaux très familiers : les petis calaos à bec rouge.

Il y a aussi une énorme tortue qui doit habiter ici depuis des dizaines d'années.

Une splendide termitière de 3 bons mètres de haut.


Ce lac est le pardis des ornithologues. aussi nous partons à bord de 3 barques à moteur pour une ballade de quelques heures.

Il vaut mieux ne pas laisser traîner ses mains dans l'eau, des crocodiles de plus de 4m de long y habitent.

Oiseau gobe mouches. 400 espècesd'oiseaux ont été recensés autour du lac.

oies d'Egypte.

Spatule. Il vit au bord du lac, son bec lui permet de fouiller la vase pour trouver sa nourriture.

Libellule. Contrairement aux idées reçues la libellule ne pique pas et est tout à fait innofensive.

Martin pêcheur.

Le tantale. Classé par les français dans la catégorie des cigognes, et par les anglo-saxons dans les ibis.

Une mère hippopotame et son petit. Les mères s'éloignent du groupe avec leur petit, car les mâles sont très agressifs et pourraient le tuer avec ou sans préméditation.

Les hippopotames sont très grégaires et aiment à se vautrer les uns sur les autres, alors que la place de manque pas.

Ce sont les hippopotames qui occasionnent le plus d'accidents mortels envers les humains en renversant les barques, ou en pietinant les tentes. Il ne faut jamais barrer le chemin de l'eau à un hippopotame, il fonce tout droit.

Un héron goliath.

Il se prépare à pêcher, ses ailes déployées l'aident à se stabiliser.

Et une fraction de seconde après le voilà avec un poisson  dans son bec !

près du lac vit une communauté de pêcheurs Masaïs. Ils utilisent de toutes petites barques en roseaux, qui ressemblent à celles qu'on trouve sur les côtes du Pérou à Huanchaco .



Plus fort : l'aigle pêcheur. Ppour arriver à le photographier, il faut se mettre en mode rafale, viser le poisson et déclencher dès que l'aigle prend le poisson.

Puis suivre l'oiseau dans son vol.

En espérant que la mise au point soit bonne. 

Suite de la visite : lac Bogoria