Nous sommes allés au Portugal plusieurs fois, en 2016 et en 1978 et 1979 !
En 1978, en Coccinelle Volkswagen et en 1979 en Estafette Renault aménagée en camping car.
A l'époque le tourisme de masse débutait seulement, et le camping sauvage était possible.
On s'approvisionnait en eau à la pompe, et on lavait son linge à la rivière ou dans une fontaine naturelle, comme les portugais du cru.
Le vinho verde en bouteille de 3 ou 5 litres coûtait moins cher qu'un jerrican de même contenance, mais vide.
La villede Nazaré ne disposait pas encore d'un port, et les barques étaient tirées sur la plage, à l'aide de boeufs ou de tracteurs.
On aidait les pêcheurs à tirer leurs filets depuis la plage de Mira ou de Nazaré.
Nous mangions les calamars à l'encre préparé par les pêcheurs dans leur cabane sur la plage de Quarteira.
La glace était achetée à la pêcherie de Quarteira en même temps que les sardines fraîchement péchées.
La saison touristique débutait à mi juillet, les touristes espagnols et portugais étaient les plus nombreux.
Les photos ont été prises à l'aide d'un appareil photo argentique (le numérique n'existait pas) Minolta Srt101 avec des objectifs de 28mm, 50mm et 135mm.
pêcheur de Nazaré avec son bonnet de laine.
Les barques après la pêche.
Il y avait de très nombreuse barques, toutes sans moteur.
Les filets étaient mis à sécher sur la plage.
Les familles viennent accueillir les marins de retour de la pêche.
il faut pousser la barque dans la mer, le port n'existait pas.
Le plus difficile est de passer 'la barre' il fallait souquer ferme !
barque à Nazaré et les filets qui sèchent. au fond la falaise.
retour de pêche.
ravaudage des filets de pêche sur la plage.
le vieil homme et son chien.
filets de pêche en train de sécher.
Les barques sont remontées à la main
On tire les barques et les filets de pêche, les touristes s'en mêlent..
les tracteurs hissent les barques et arrangent la plage.
les pêcheurs se reposent après une dure journée.
La pêche est emmenée à la criée, mais auparavant on distribue quelques poissons aux pêcheurs, et on jette par terre des poissons pour les retraités.
Ce n'est pas un geste de dédain, mais c'est un signe qu'on ne fait pas la charité et que les bénéficiaires doivent récolter eux même de quoi vivre. Ils conservent ainsi leur dignité.
C'est bien de savoir pourquoi, parce sans cela on est choqué.
Après la pêche : repos sur la plage
Barques
Cabane de pêcheur à Mira, au nord de Nazaré
les boeufs tirent les barques de pêche à Mira.
Mira
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suite de la visite du Portugal : Tomar, le siège des Templiers et le Covento do Cristo
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